Sainte-Geneviève, cathédrale de Nanterre
Située au cœur du vieux village de Nanterre, l’église Sainte-Geneviève-Saint-Maurice a été érigée en cathédrale à la création du diocèse de Nanterre en 1966. Ce lieu a été retenu parce qu’il symbolise le lien du diocèse avec sa sainte patronne, sainte Geneviève, qui est née et a vécu ici.
Le mot “cathédrale” vient du mot cathèdre qui désigne le fauteuil sur lequel s’assoit l’évêque pour présider les célébrations. La cathédrale est ainsi le lieu qui abrite le siège de l’évêque. Celui-ci est considéré par l’Église catholique comme successeur des apôtres, et à ce titre, il est docteur de la foi, chargé de l’enseigner et de la transmettre avec fidélité.
En plus des mille mètres carrés de fresques, d’autres éléments architecturaux remarquables sont présents dans ce lieu comme une grande verrière de vitraux représentant les mystères du Rosaire, des statues ou chapiteaux sculptés et une porte d’entrée monumentale en bronze, réalisée en laiton embouti sur le thème du « Buisson ardent ».
Inauguration de la cathédrale rénovée
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Découvrir le projet sur le site dédié de la cathédrale de Nanterre
Redécouvrir le sens de la cathédrale
Le diocèse de Nanterre, par la voix de Mgr Daucourt, entend faire redécouvrir la valeur de la cathédrale de Nanterre et son sens pour les chrétiens.
Témoignages
« Je ne suis venu qu’une fois à l’église du vieux Nanterre pour la confirmation de mon fils mais je ne savais pas qu’il s’agissait de la cathédrale. »
« Je croyais que notre cathédrale était Notre-Dame de Paris. Je suis heureux d’apprendre que mon diocèse a aussi la sienne. »
« L’église-mère du diocèse doit vraiment devenir un lieu de rassemblement diocésain.»
Les porteurs du projet
Monseigneur Daucourt est à l’initiative du projet de rénovation de la cathédrale du diocèse de Nanterre, dont il est l’évêque depuis 2002.
Jean-Marie Duthilleul, architecte DPLG de renommée internationale, est en charge des travaux de rénovation de la cathédrale de Nanterre.
Don en ligne
Le budget du projet
Le montant des travaux s’élève à 5 millions d’euros. Ils sont co-financés par la mairie de Nanterre à hauteur de 2 millions d’euros et par l’Église catholique des Hauts de Seine (le diocèse de Nanterre) pour le solde, soit 3 millions d’euros. Grâce à des dons et legs déjà reçus, il reste au 1er septembre 2012, un montant de 2 millions d’euros à financer.
Cette opération exceptionnelle ne peut être supportée par le budget de fonctionnement ordinaire du diocèse et doit donc trouver sa source dans les dons, petits, grands et très grands de tous ceux qui veulent s’associer à cette grande œuvre et sont convaincus de son importance pour l’Église catholique comme pour la société civile.